L’ONUSIDA et l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) se sont associés pour renforcer l’action contre le cancer du col de l’utérus et le VIH dans les pays à revenu faible.
Les deux structures promettent de renforcer et d’élargir les services destinés aux femmes touchées par ces deux maladies.
Le cancer du col de l’utérus et le VIH sont étroitement liés. Ce cancer est répandu chez les femmes vivant avec le VIH, qui ont plus de risques de le développer. Les femmes infectées avec certains types de papillomavirus sont deux fois plus exposées à un risque d’infection au VIH.
Les femmes vivants dans des pays à revenu faible ou intermédiaire ont tendance à décéder d’un cancer du col de l’utérus. La plupart de ses pays n’ont malheureusement que des programmes limités de prévention et de contrôle du cancer du col de l’utérus comme des services de radiothérapie.
« Aujourd’hui, 90 % des filles vivant dans des pays à revenu élevé ont accès à un vaccin contre le papillomavirus humain alors qu’elles ne sont que 10 % dans les pays à revenu intermédiaire et faible. Pourquoi une telle injustice ? » annonce Winnie Byanyima, directrice exécutive de l’Onusida.
Pour mettre fin à cette inégalité, il nécessite une approche qui inclut notamment :
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