L'assemblée a eu lieu à la fin de septembre et le VIH a été évoqué à plusieurs reprises.
Par exemple, ce sont les mots prononcés par le Président des États-Unis, Joe Biden :
« Le recul des infections et des décès dus au VIH/sida revient dans une portion non négligeable aux efforts déployés dans plus de 55 pays qui ont permis de sauver plus de 25 millions de vies. [Ce résultat] est une preuve tangible de ce que nous sommes capables d’accomplir lorsque nous agissons ensemble pour relever des défis difficiles. C’est aussi une invitation à accélérer de toute urgence nos progrès afin que personne ne soit laissé de côté. »
L'Onusida a donc encouragé les leaders du monde à garder le VIH en priorité politique pour trois raisons principales, selon la directrice exécutive de l’ONUSIDA, Winnie Byanyima :
« Premièrement le travail n’est pas encore terminé : après 43 ans de pandémie, plus de 9 millions de personnes attendent encore un traitement vital, plus de 1,3 million de nouvelles contaminations au VIH sont recensées chaque année et une personne est morte chaque minute des suites du SIDA en 2022. Deuxièmement : nous savons comment mettre fin au sida, nous en avons les capacités et nous connaissons la marche à suivre. Troisièmement : la riposte au sida est un investissement judicieux qui a des répercussions positives sur la santé, la société et l’économie. »
Source : Unaids.org
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