En 2019, les investissements consacrés au VIH dans les pays à revenu faible et intermédiaire s’élevaient à 70 % de l’objectif 2020, fixé par l’Assemblée générale des Nations Unies. L’écart entre le besoin de riposter contre l’infection et le financement du projet se resserre enfin.
Les investissements nationaux des ripostes au VIH dans les pays à revenu faible et intermédiaire ont augmenté de 50 % depuis 2010.
D’après UNAIDS, le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, a augmenté son soutien financier de seulement 7 % sur ces dix dernières années. Quant aux financements du gouvernement américain, Il a augmenté de 38 %. Les contributions en provenance d’autres pays ont baissé d’environ 50 % entre 2010 et 2019.
Il reste intéressant de constater que les investissements nationaux et internationaux pour les ripostes au VIH, dans les pays à revenu faible et intermédiaire, ont globalement augmenté depuis 2010.
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