La 44e réunion du Conseil d’administration du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, était cette semaine. Les discussions étaient sur l’organisation de la pandémie de COVID-19, l’élaboration de la nouvelle stratégie du Fonds et les progrès dans la lutte contre les trois maladies.
Le Fonds mondial est l’un des leaders de la riposte mondiale contre la pandémie. Il est le plus important investisseur pour mettre en place des systèmes résistants et pérennes pour la santé. Ces investissements, financent des outils, des systèmes, des ressources humaines et des laboratoires. Aujourd’hui, ils servent pour lutter contre la COVID-19 dans de nombreux pays à faible revenu.
Le Conseil d’administration félicitait la contre-attaque efficace du Fonds mondial pour faire face au COVID-19. Sans oublier le VIH, la tuberculose et le paludisme.
Il est nécessaire d’accroître les financements. De renforcer les systèmes de santé. De se remettre sur la voie pour en finir avec les épidémies de VIH, de tuberculose et de paludisme d’ici 2030, annonce Peter Sands, directeur exécutif du Fonds mondial.
Le problème est que « Tant que le COVID-19 ne sera pas maîtrisé, nous ne réaliserons pas les progrès que nous souhaitons dans la lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme. »
Le président du Conseil d’administration, M. Donald Kaberuka insistait sur la prochaine stratégie. Elle devra se focaliser sur l’accélération du mouvement pour permettre l’élimination des épidémies de VIH, de tuberculose et de paludisme, d’ici 2030.
Le Conseil d’administration a par ailleurs approuvé les plans pour 2021, avec un budget en hausse.
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