Ce sous-vêtement permet de protéger les femmes du VIH, des hépatites virales et autres Infections Sexuellement Transmissibles (IST) lors d’une pénétration et des rapports oro-génitaux.
Étonnant mais intelligent. Outre-Atlantique, la Food and Drug Administration, l’agence de santé, a autorisé mi-mai la commercialisation d’une culotte de protection comme dispositif de santé sexuelle. Le sous-vêtement “empêche la transmission des fluides corporels, des agents pathogènes dangereux et des infections sexuellement transmissibles” lors de rapports sexuels oraux, vaginaux et anaux, indique la marque.
Vendu par lot de quatre à 25 dollars (environ 24 euros), “Lorals” se présente sous la forme d’une culotte noire, disponible aussi en petit short. Elle est en latex ultrafin pour préserver les sensations, et elle est parfumée à la vanille. Chaque culotte est à usage unique : elle se porte juste avant le rapport et doit être jetée après, à l'image du préservatif.
La créatrice du produit, Mélanie Cristol, raconte qu’elle a eu l’idée lors de sa lune de miel. Elle a découvert qu’elle était porteuse d’une IST qu’elle aurait pu transmettre à sa compagne, relate-t-elle au New York Times. “Je voulais me sentir sexy et confiante, et utiliser quelque chose conçu en ayant à l’esprit mon corps et le sexe dans sa pratique réelle.”
Elle forme une barrière hermétique entre la vulve ou l’anus de la femme et la bouche de son ou sa partenaire, en retenant les fluides qui pourraient contenir des virus ou des agents pathogènes. Gros avantage : la culotte fonctionne même pendant les règles. Pour l’heure, le produit n’est pas destiné à être vendu en France.
Sources :
Crédit photo : capture d'écran du compte Instagram MyLorals.
Vous avez une question par rapport à cet article ?
Elle a peut-être déjà été traitée dans notre section FAQ
Vous ne trouvez pas votre réponse ou vous avez une remarque particulière ?
Posez-nous votre question ici :