Deux personnes sont décédées suite à une infection par le Monkeypox ont été confirmés les 29 et 31 juillet en Espagne.
Ce sont les deux premiers décès en Europe. Le ministère espagnol de la Santé a annoncé deux morts suite à une infection par le Monkeypox, virus de la variole du singe. Le pays est l’un qui enregistre le plus de cas dans le monde.
“Parmi les 3 750 patients (…), 120 ont été hospitalisés et deux sont morts”, a indiqué le centre de coordination des alertes et des urgences sanitaires du ministère, samedi 30 juillet. Il s’agit de deux jeunes hommes, dont on ne connaît pas l’âge précis.
Au Brésil, un homme de 41 ans, infecté par le Monkeypox, est mort, ont annoncé le 29 juillet, les autorités locales.
Le patient “était suivi à l’hôpital pour d’autres affections cliniques graves”, a expliqué le secrétariat à la santé de l’Etat brésilien de Minas Gerais (Sud-Est) dans un communiqué. Selon les médias brésiliens, le malade, mort à l’hôpital Eduardo de Menezes de Belo Horizonte, au sud-est du pays, avait un système immunitaire très affaibli.
De l'autre côté du globe, en Inde, les autorités ont recensé, le 1er août, le décès d’un homme infecté lui aussi par la maladie. Il rentrait des Émirats arabes unis et pourrait constituer le premier cas mortel en Asie.
Ces trois cas s’ajoutent aux huit décès enregistrés dans le monde depuis mai, dont les cinq premiers ont été recensés en Afrique, où la maladie est régulièrement épidémique depuis 1970.
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