Greg : J’étais avec la famille, je n’ai pas fait grand chose à part mes balades à côté du Blavet. J’ai dormi tôt, tard, comme vous voulez. Pour moi tôt c’est autour de 10h-10h30. Je suis quelqu’un qui ne dort pas énormément. Je me suis réveillé assez tôt, je sors du lit vers 8h, j’ai lu un roman que j’ai terminé, un roman américain. On a mangé ensemble. Nicole est une bonne cuisinière. C’est moi qui ai fait une salade le dimanche avec les restes dans le frigo. Laitue, thon, le merlu, les tomates, poivrons verts, échalotes avec une sauce vinaigrette, carottes aussi, maïs. Sinon, on a mangé du magret parce qu’ils aiment ça là-bas en Bretagne. Mais sinon je n’ai pas fait grand chose à part les balades et le match de foot. Aussi, j’ai découvert l’émission The Voice et Jennyfer j’ai envie de lui donner une claque (rires).
Sandra : Pourquoi as-tu envie de donner une claque à Jennyfer ?
Greg : Elle a privilégié une de 20 points. J’ai trouvé que ce n’était pas juste, mais peut-être pour les raisons qu’elle a donné. Les raisons c’était parce qu’elle était malade etc mais ça, c’est son problème.
Pour tout le monde, si vous allez en Bretagne, faites attention au retour quand c’est un mélange entre les TER et les TGV. Pour le retour, j’étais dans un TER qui est parti de Lorient jusqu’à Rennes. Et la SNCF doit avoir honte. On a attendu plus de 10 minutes à Redon parce qu’on était déjà plein à craquer dans le train, même les enfants dans le couloir. C’était vraiment atroce. Et là, j’ai vu au moins une cinquantaine, peut-être pas 50 mais un paquet de gens qui étaient sur le quai qui attendaient pour monter dans le train et ils ne pouvaient pas. Mais là ils ont tout essayé, les gens qui bougent pour faire de la place. Finalement, on a laissé une vingtaine de personnes sur le quai et le train est parti. Mais pour les correspondances, ça a posé problème. On était stressé, en tout cas moi, j’étais très stressée parce que, le temps d’arriver à Rennes à 53, 14h53 pour repartir à 15h03. Mais ils ont retenu le train TGV pour Montparnasse à la gare, il est parti avec un retard de 8 minutes. Mais quand même, ça s’est bien passé. Je trouve quand même que c’est hallucinant parce que, sur les TER, on ne vend pas de place, c’est simplement une catégorie de billets.
Sandra : Il n’y a pas de numéro de place.
Greg : Il n’y pas de numéro de place. Le plus pénible c’est, bon moi j’ai des problèmes de genoux donc je ne pouvais pas. Mais c’est une dame avec trois petits gosses et au début, personne ne veut céder une place. C’était pénible le voyage retour.
Content de rentrer chez moi oui mais pas pour retrouver le quotidien parisien. J’ai passé 4 jours quelque part où les gens disaient bonjour avec un gros sourire, etc. Vraiment, même dans les supermarchés, les gens sont polis etc. Mais arrivé à Paris, le métro déjà c’est sale ! Les gens sont malpolis ! Ils te marchent dessus, ils te bousculent ! Ah non mais c’est… voilà.
Sandra : C’est la vie parisienne.
Greg : C’est la vie parisienne, on fait avec (rires).
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